Bonjour,
Une nouvelle traduction de L'Iliade d'Homère par Philippe Brunet, titre le Nouvel Observateur avec un article de Philippe Sollers qui met en avant la fidélité de cette traduction à la poésie vibrante de la langue d'Homère. Et le critique d'évoquer la violence des combats, les fameuses "épithètes homériques" ( Ulysse « aux mille ruses », Athéna « aux yeux de chouette » ou Poséidon « ébranleur du sol ») et ces héros qui veulent s'égaler aux dieux, tel Achille, « resplendissant comme l’astre, [qui] bondit dans la plaine, astre d’arrière-saison, Chien d’Orion, éclatant mais funeste. »